« Beer Drinkers and Hell Raisers », that’s the title of a ZZ Top song. That shambolic atmosphere is also well accounted in such classics as Carl Perkins « Dixie Fried » and Johnny Burnette « Rockabilly Boogie ». The rock’n’roll basis. It’s music of beer drinkers, whether they stand on stage or in the room. The hops-based beverage refreshes and quenches one’s first, sometimes until dehydration. Beer favors exchanges : one swallows the content, the container is sometimes used as a missile when the drinker in the room isn’t satisfied with the drinker on stage. Beer is the fuel of the electric engine called rock’n’roll.
Therefore it’s appropriate taht musicians claim their attachment to hops. After hops, we’ll talk someday about malt.
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Buveurs de bière et fouteurs de merde, c’est le titre d’un morceau de ZZ Top (« Beer Drinkers and Hell Raisers »). On retrouve ce genre d’ambiance bordélique dans les classiques de Carl Perkins (« Dixie Fried ») ou Johnny Burnette (« Rockabilly Boogie »). La base du rock’n’roll. C’est une musique de buveurs de bière, qu’ils soient sur scène ou dans la salle. Le breuvage à base de houblon rafraîchit et désaltère parfois jusqu’à la déshydratation. La bière favorise alors les échanges : on absorbe le contenu, le contenant sert parfois de projectile quand le buveur dans la salle n’est pas content du buveur sur scène. La bière, c’est le carburant du moteur électrique appelé rock’n’roll.
Il est donc légitime que les musiciens affirment leur attachement au houblon. Après le houblon, nous évoquerons, dans un prochain article rocknrollobiochimique, le malt.
Sturgill Simpson at the Sun King Brewery / Sturgill Simpson à la brasserie Sun King Brewery :
ZZ Top selling Jeremiah Weed beer / ZZ Top vend la bière Jeremiah Weed :
Danny Gatton playing slide guitar with a beer bottle / Danny Gatton joue de la slide guitar avec une bouteille de bière :